Novembre 2009
La perle de Quéhan (21 novembre 2009)
La perle de Quéhan, nous y reviendrons à la fin de cet article. Si vous ne savez pas ce que c'est, je vous donne deux indices. 1) A mon sens elle est galactofuge et 2) ce n'est pas une spécialité Auvergnate...
Alors l'actualité de la semaine, c'est que nous nous sommes fait vacciner tous les cinq ainsi que Jacques et Dany contre la grippe A, pour préserver Blanche (c'est ce qu'on appelle le cocooning). Je suis passé le premier et malheureusement je n'ai constaté aucun effet secondaire désirable du style perte de poids fulgurante ou repousse des cheveux. Sophie et les enfants ont suivi et là aussi rien à signaler sauf côté Octave...
Alors l'actualité de la semaine, c'est que nous nous sommes fait vacciner tous les cinq ainsi que Jacques et Dany contre la grippe A, pour préserver Blanche (c'est ce qu'on appelle le cocooning). Je suis passé le premier et malheureusement je n'ai constaté aucun effet secondaire désirable du style perte de poids fulgurante ou repousse des cheveux. Sophie et les enfants ont suivi et là aussi rien à signaler sauf côté Octave...
Ah non pardon ce n'est pas Octave, c'est une photo de cet après midi où nous sommes allés visiter une captivante exposition avicole, comme quoi nous ne craignons pas plus la grippe aviaire que la H1N1... C'était donc tout à fait palpitant, ça m'a rappelé la foire de Charolles, c'est dire, nous avons croisé trois poulets et un pondu (copyright Anatole pour celle là).
Ce qui n'est pas tout à fait exact, car il y avait aussi des lapins, vous pouvez voir ici Sophie, très à l'aise, flatter avec intérêt quasi-professionnel le cul d'un bon sujet. Moi de mon côté, j'étais au contraire en train d'apprendre à Blanche à repérer et éviter les chauds lapins.
Et si Louise avait raté le titre de Miss Thon 2009 à la foire au thon à Etel, Octave n'a pas laissé échapper celui de Mister Cou Nu du Forez...
Mais pour en revenir à la grippe A, depuis que Blanche sait que sa famille fait rempart, elle est tout à fait rassérénée et elle a retrouvé le sommeil en même temps qu'elle a trouvé son pouce et le rythme à cinq tétées par jour.
Ce qui n'est pas tout à fait exact, car il y avait aussi des lapins, vous pouvez voir ici Sophie, très à l'aise, flatter avec intérêt quasi-professionnel le cul d'un bon sujet. Moi de mon côté, j'étais au contraire en train d'apprendre à Blanche à repérer et éviter les chauds lapins.
Et si Louise avait raté le titre de Miss Thon 2009 à la foire au thon à Etel, Octave n'a pas laissé échapper celui de Mister Cou Nu du Forez...
... à notre (évidemment) très grande fierté et au grand dam de certains qui en ont même mangé leur diplôme.
Mais pour en revenir à la grippe A, depuis que Blanche sait que sa famille fait rempart, elle est tout à fait rassérénée et elle a retrouvé le sommeil en même temps qu'elle a trouvé son pouce et le rythme à cinq tétées par jour.
Elle s'autorise donc de paisibles siestes dehors dans la cour sous le chaud soleil auvergnat de novembre.
Pendant ce temps du coup, nous en profitons pour savourer la perle du Quéhan. Enfin quand je dis nous, j'entends ceux qui n'en ont pas été dégoûtés à la suite d'une cuite subie à l'age de huit ans parce que leur oncle Serge leur avait fait boire du vin blanc. Enfin c'est sans doute qu'il ne s'agissait pas de Saint-Véran de chez Patrice qui d'ailleurs n'était même pas né.
Bref si l'on excepte "The Dream" qui n'est toujours pas fermé (mais que fait donc la police ?) et nos douches qui continuent à fuir à tour de rôle tout va bien, n'est ce pas Blanche ?
Bien sûr mon Papa surtout avec un aussi beau chapeau !
A bientôt.
Pendant ce temps du coup, nous en profitons pour savourer la perle du Quéhan. Enfin quand je dis nous, j'entends ceux qui n'en ont pas été dégoûtés à la suite d'une cuite subie à l'age de huit ans parce que leur oncle Serge leur avait fait boire du vin blanc. Enfin c'est sans doute qu'il ne s'agissait pas de Saint-Véran de chez Patrice qui d'ailleurs n'était même pas né.
Bref si l'on excepte "The Dream" qui n'est toujours pas fermé (mais que fait donc la police ?) et nos douches qui continuent à fuir à tour de rôle tout va bien, n'est ce pas Blanche ?
Bien sûr mon Papa surtout avec un aussi beau chapeau !
A bientôt.
Blanche à La petite école (13 novembre 2009)
Attention, derrière ce titre tout mignon façon "Les aventures de Martine" se profile un très très long article plein de digressions genre souvenirs, souvenirs... et de publicité semi-clandestine, d'autant que ce soir j'ai du temps devant moi pour écrire, vous verrez pourquoi à la fin...
Bon évidemment vous aurez compris que Blanche,bien qu'elle soit très éveillée, ne va pas encore VRAIMENT à l'école. D'ailleurs il faut arrêter de dire qu'elle est éveillée. Jeudi de la semaine dernière elle a passé sa visite médicale des trois mois (58 cm et 4kg690) et le toubib a écrit sur son carnet de santé : "excellent éveil". Elle a dû comprendre de travers car depuis elle fait d'énormes efforts pour rester éveillée toute la journée et moins dormir la nuit.
Donc La petite école c'est notre restaurant préféré dans le coin. Au passage, avez-vous repéré les deux bouteilles de vin de Patrice habilement dissimulées dans cette photo sur laquelle vous voyez Sophie et Blanche (endormie) arriver pour le déjeuner ?
Bon évidemment vous aurez compris que Blanche,bien qu'elle soit très éveillée, ne va pas encore VRAIMENT à l'école. D'ailleurs il faut arrêter de dire qu'elle est éveillée. Jeudi de la semaine dernière elle a passé sa visite médicale des trois mois (58 cm et 4kg690) et le toubib a écrit sur son carnet de santé : "excellent éveil". Elle a dû comprendre de travers car depuis elle fait d'énormes efforts pour rester éveillée toute la journée et moins dormir la nuit.
Donc La petite école c'est notre restaurant préféré dans le coin. Au passage, avez-vous repéré les deux bouteilles de vin de Patrice habilement dissimulées dans cette photo sur laquelle vous voyez Sophie et Blanche (endormie) arriver pour le déjeuner ?
Evidemment comme cantine il existe plus prestigieux.
Mais la vérité m'oblige à dire que nous n'y sommes allés qu'une fois en octobre 2008 et ça reste un souvenir ému, que je veux partager avec Pierre, qui se morfond à ne plus pouvoir se nourrir que de Weißwurst et de choux, comme il l'a lui même expliqué en commentaire de l'article précédent. Alors rien que pour toi Pierre, ce sublimissime "gargouillou" de légumes.
Il faut dire que Pierre, à l'instar de Marie N'Diaye, s'est réfugié en Allemagne en septembre et que cet exil lui trouble le jugement au point qu'il confond désormais cochonnailles et cochonneries comme en témoigne son blog.
Ceci me fait penser que c'est bien Pierre, ici au milieu en chemise rose, qui l'année dernière à peu près à la même époque avait eu l'excellente idée d'organiser les retrouvailles des Satori Potes à l'occasion de ses quarante ans. Yann, Guillaume, Jérôme (Baba) et moi nous sommes connus à notre rentrée de 6ème au Lycée Michelet à Vanves, en septembre 1979. Ce qui fait donc officiellement de nous depuis peu des amis de trente ans !
Si je reviens à cet épisode, c'est que Yann m'a appris récemment qu'il attendait son premier enfant pour avril prochain (en fait physiologiquement parlant c'est Perrine sa compagne qui l'attend).
Ce qui nous fera donc quatre petits Gréhal, trois petits Capron (Marie, Guillaume et Julie), trois petits Bassez (Ernest, Thaïs et Ferdinand) et donc bientôt un petit Lemeur. Bravo Yann et bisous !
Par contre il semblerait qu'il n'y ait plus rien à espérer du côté du nain et du cochon... Mais je m'égare (je vous avais prévenus qu'il y aurait des digressions).
Donc ce midi, profitant de ce grand viaduc pendant lequel mon usine est fermée (eh oui, car quand on est directeur d'usine, si on veut être tranquille il faut la fermer - mais soyez tranquilles je ne céderai pas à ma propre provocation et m'abstiendrai de tout comparaison facile avec l'actualité politique récente) nous avions décidé Sophie et moi de retourner enfin à La petite école pour la première fois depuis la naissance de Blanche.
Christophe, lui même heureux papa de trois petits Champion (Candide, Colin et Camille) a récemment quitté le monde merveilleux de la finance pour réaliser un projet qui lui trottait dans la tête depuis longtemps : monter une librairie (la librairie Faustroll du nom d'un personnage d'un de ses auteurs de prédilection).
Ce fut un voyage épique pour Louise comme le résume le communiqué de la SNCF ci dessous :
"Un train de marchandises d'une autre entreprise de transport ferroviaire a heurté une personne à Gien. La circulation a été interrompue dans ce secteur de 18h15 à 22h15 pour permettre l'intervention des secours et le dégagement de ce train de marchandises.
Conséquence :
- Le Téoz 5982 Clermont-Ferrand 17h29 / Paris gare de Lyon 20h52 circule avec 3h30 de retard"
Ce long retard et la veille qui en résulte expliquent donc en partie ce long article. Enfin on est rassuré ce n'est pas la faute de la SNCF, c'était "une autre entreprise ferroviaire".
Bon, il est minuit et demi, Louise a fini par arriver à Paris, je vais pouvoir aller me coucher. Dehors le boum-boum des basses de "The Dream" résonne et me réjouit (non je ne suis pas maso mais j'ai bon espoir que ce soit en quelque sorte leur chant du cygne...). Pas de réveil intempestif, hein Blanche ?
Mais bien sûr mon Papa, pourquoi tu dis ça ? A demain !
Mais la vérité m'oblige à dire que nous n'y sommes allés qu'une fois en octobre 2008 et ça reste un souvenir ému, que je veux partager avec Pierre, qui se morfond à ne plus pouvoir se nourrir que de Weißwurst et de choux, comme il l'a lui même expliqué en commentaire de l'article précédent. Alors rien que pour toi Pierre, ce sublimissime "gargouillou" de légumes.
Il faut dire que Pierre, à l'instar de Marie N'Diaye, s'est réfugié en Allemagne en septembre et que cet exil lui trouble le jugement au point qu'il confond désormais cochonnailles et cochonneries comme en témoigne son blog.
Ceci me fait penser que c'est bien Pierre, ici au milieu en chemise rose, qui l'année dernière à peu près à la même époque avait eu l'excellente idée d'organiser les retrouvailles des Satori Potes à l'occasion de ses quarante ans. Yann, Guillaume, Jérôme (Baba) et moi nous sommes connus à notre rentrée de 6ème au Lycée Michelet à Vanves, en septembre 1979. Ce qui fait donc officiellement de nous depuis peu des amis de trente ans !
Si je reviens à cet épisode, c'est que Yann m'a appris récemment qu'il attendait son premier enfant pour avril prochain (en fait physiologiquement parlant c'est Perrine sa compagne qui l'attend).
Ce qui nous fera donc quatre petits Gréhal, trois petits Capron (Marie, Guillaume et Julie), trois petits Bassez (Ernest, Thaïs et Ferdinand) et donc bientôt un petit Lemeur. Bravo Yann et bisous !
Par contre il semblerait qu'il n'y ait plus rien à espérer du côté du nain et du cochon... Mais je m'égare (je vous avais prévenus qu'il y aurait des digressions).
Donc ce midi, profitant de ce grand viaduc pendant lequel mon usine est fermée (eh oui, car quand on est directeur d'usine, si on veut être tranquille il faut la fermer - mais soyez tranquilles je ne céderai pas à ma propre provocation et m'abstiendrai de tout comparaison facile avec l'actualité politique récente) nous avions décidé Sophie et moi de retourner enfin à La petite école pour la première fois depuis la naissance de Blanche.
Pendant ce temps les deux grands déjeunaient à la cantine tandis qu'Octave qui n'aime pas faire comme tout le monde rentrait manger seul un sandwich à la maison. Heureusement il n'a ni mis des miettes partout ni oublié de fermer le portail à clef en repartant car sinon...
Bien sûr dès que les choses sérieuses ont commencé, Blanche s'est instantanément réveillée, participant activement jusqu'à la fin de ce délicieux repas...
Un peu plus tard, Louise est partie à Paris chez son parrain Christophe.
Un peu plus tard, Louise est partie à Paris chez son parrain Christophe.
Christophe, lui même heureux papa de trois petits Champion (Candide, Colin et Camille) a récemment quitté le monde merveilleux de la finance pour réaliser un projet qui lui trottait dans la tête depuis longtemps : monter une librairie (la librairie Faustroll du nom d'un personnage d'un de ses auteurs de prédilection).
Ce fut un voyage épique pour Louise comme le résume le communiqué de la SNCF ci dessous :
"Un train de marchandises d'une autre entreprise de transport ferroviaire a heurté une personne à Gien. La circulation a été interrompue dans ce secteur de 18h15 à 22h15 pour permettre l'intervention des secours et le dégagement de ce train de marchandises.
Conséquence :
- Le Téoz 5982 Clermont-Ferrand 17h29 / Paris gare de Lyon 20h52 circule avec 3h30 de retard"
Ce long retard et la veille qui en résulte expliquent donc en partie ce long article. Enfin on est rassuré ce n'est pas la faute de la SNCF, c'était "une autre entreprise ferroviaire".
Bon, il est minuit et demi, Louise a fini par arriver à Paris, je vais pouvoir aller me coucher. Dehors le boum-boum des basses de "The Dream" résonne et me réjouit (non je ne suis pas maso mais j'ai bon espoir que ce soit en quelque sorte leur chant du cygne...). Pas de réveil intempestif, hein Blanche ?
Mais bien sûr mon Papa, pourquoi tu dis ça ? A demain !
Les cauchemars de l'amateur de daube provençale (8 novembre 2009)
L'amateur de daube provençale, c'est moi !
Et ce week-end, j'ai été servi, puisque nous avons eu à la maison Roland et Sophia, nos amis de Jouques, que tous les fidèles de BLOAG connaissent de nom car nous leur devons presque la moitié des commentaires (44% si je veux faire l'ingénieur) laissés sur le blog. Mais si, voyons, l'érudit et insomniaque Professeur Roland G, qui est l'auteur de 100% des commentaires laissés après minuit, heure où il devient un Roland Garou (et heure où il va discrètement sur Internet consulter les résultats des matches de l'OM, si, si !).
Roland et Åsa, pardon, Sophia (Åsa est son premier prénom so swedish qu'elle déteste et ne divulgue donc jamais à personne... Tu vois que je sais faire les "Å" sur mon clavier, Sophia!) sont les parents de Tancrède le copain de crèche d'Anatole et Sophia est la marraine d'Octave.
Roland, que vous voyez ici avant minuit, réussit la daube provençale comme personne et j'avais donc par quelques discrètes allusions laissé entendre que je ne serais pas hostile à ce que Roland se laisse convaincre de nous en mijoter une de derrière les fagots. Ma satisfaction a donc été à son comble quand je l'ai vu sonner à la grille, avec son air de conspirateur et sa cocotte Staub sous le bras.
Et ce week-end, j'ai été servi, puisque nous avons eu à la maison Roland et Sophia, nos amis de Jouques, que tous les fidèles de BLOAG connaissent de nom car nous leur devons presque la moitié des commentaires (44% si je veux faire l'ingénieur) laissés sur le blog. Mais si, voyons, l'érudit et insomniaque Professeur Roland G, qui est l'auteur de 100% des commentaires laissés après minuit, heure où il devient un Roland Garou (et heure où il va discrètement sur Internet consulter les résultats des matches de l'OM, si, si !).
Roland et Åsa, pardon, Sophia (Åsa est son premier prénom so swedish qu'elle déteste et ne divulgue donc jamais à personne... Tu vois que je sais faire les "Å" sur mon clavier, Sophia!) sont les parents de Tancrède le copain de crèche d'Anatole et Sophia est la marraine d'Octave.
Roland, que vous voyez ici avant minuit, réussit la daube provençale comme personne et j'avais donc par quelques discrètes allusions laissé entendre que je ne serais pas hostile à ce que Roland se laisse convaincre de nous en mijoter une de derrière les fagots. Ma satisfaction a donc été à son comble quand je l'ai vu sonner à la grille, avec son air de conspirateur et sa cocotte Staub sous le bras.
Dans l'assiette, ce fut parfait, par contre la nuit qui suivit fut rude...
La daube de Roland n'y est pour rien, c'est d'abord Blanche qui pour une raison inconnue et pour la deuxième nuit de suite a perdu sa bonne habitude de dormir d'une traite jusqu'à huit heures du matin et nous a réveillés à 2 heures, 4 heures et 6 heures. Ce qui nous a laissé tout le loisir de profiter de la musique de la boîte de nuit "The Dream" en face et des allées et venues de la clientèle malgré l'héroïque effort des gérants pour tenter de la canaliser.
Juste retour des choses néanmoins, nous avons reçu ce matin une plainte de leur part car il parait que les ronflements de Roland ont parfois couvert la musique et perturbé les danseurs. Il faut dire que les dits ronflements sont connus pour être à l'origine d'une partie de l'activité sismique dans la région de Cadarache.
Après cette nuit de daube, la journée a donc été réservée à des activités plus calmes telles que poker...
... et dégustation du vin de Patrice (ôtez moi d'un doute, vous ai-je déjà parlé du vin de Patrice ? Et de ses cheveux ?)
Il y a eu aussi quelques activités moins calmes comme essayer de faire dormir Blanche qui sur sa lancée de la nuit a obstinément refusé d'entendre raison (Blanche, il y a un temps pour tout, un temps pour rester avec tout le monde et un temps pour prendre sur soi, etc etc).
Après cette nuit de daube, la journée a donc été réservée à des activités plus calmes telles que poker...
... et dégustation du vin de Patrice (ôtez moi d'un doute, vous ai-je déjà parlé du vin de Patrice ? Et de ses cheveux ?)
Il y a eu aussi quelques activités moins calmes comme essayer de faire dormir Blanche qui sur sa lancée de la nuit a obstinément refusé d'entendre raison (Blanche, il y a un temps pour tout, un temps pour rester avec tout le monde et un temps pour prendre sur soi, etc etc).
Bon en tout cas, pour la daube, Roland t'es un as (on a fini la sauce ce soir avec des pâtes fraiches, mmmmmmmm !).
Et nous on va se coucher en espérant une bonne nuit d'une traite et un sommeil sans rêve !
Bonne nuit.
Et nous on va se coucher en espérant une bonne nuit d'une traite et un sommeil sans rêve !
Bonne nuit.
La perle Blanche (2 novembre 2009)
Cet article à consommer sans modération est sponsorisé par Patrice Martin, jeune vigneron talentueux du Beaujolais (jeune et néanmoins méritant, je dis ça au cas où il y aurait des électeurs UMP en balade sur ce blog).
En effet, le week-end dernier nous sommes allés pour la première fois avec Blanche dans le Beaujolais, berceau familial car terre natale de ma grand-mère paternelle Nanou.
Nanou, ici au centre, que je surnommais quand j'étais petit (quand j'avais 18 ans) Nounou Hibou pour d'obscures raisons de coiffure qui bien évidemment sont tout à fait hors de propos ici.
Nous avons logé chez Serge et Chantal, mon oncle et ma tante, et avons passé la soirée de samedi chez Caroline, leur fille et ma cousine, et son mari Patrice.
Tout le monde a été bien sage notamment Blanche et les garçons.
Chez Caroline et Patrice, c'est un peu l'arche de Noë, ce qui a permis à Blanche, le lendemain, de rencontrer pour la première fois des animaux effrayants.
Pour se remettre de ses émotions, Blanche a tenu absolument à ce que nous allions goûter le vin de Patrice, ce que nous n'avons pas eu le coeur de lui refuser.
Il faut savoir que Patrice avait failli mal tourner dans sa jeunesse.
Heureusement un genou récalcitrant et l'atavisme familial (ses parents et son frère sont aussi vignerons) vinrent à bout de ses velléités de devenir footballeur professionnel, lui qui fut aspirant au centre de formation du FCG (Football Club de Gueugnon, eh oui, comme le monde est petit...). Bon ça lui aura au moins permis de savoir où se procurer de l'inox de qualité !
Bref, tout ça pour dire que, malgré notre affection pour Patrice nous nous sommes sentis obligés de nous livrer à une dégustation sans concession et approfondie. Sévères mais justes, en quelque sorte.
A bientôt.
Nanou, ici au centre, que je surnommais quand j'étais petit (quand j'avais 18 ans) Nounou Hibou pour d'obscures raisons de coiffure qui bien évidemment sont tout à fait hors de propos ici.
Nous avons logé chez Serge et Chantal, mon oncle et ma tante, et avons passé la soirée de samedi chez Caroline, leur fille et ma cousine, et son mari Patrice.
Tout le monde a été bien sage notamment Blanche et les garçons.
Chez Caroline et Patrice, c'est un peu l'arche de Noë, ce qui a permis à Blanche, le lendemain, de rencontrer pour la première fois des animaux effrayants.
Pour se remettre de ses émotions, Blanche a tenu absolument à ce que nous allions goûter le vin de Patrice, ce que nous n'avons pas eu le coeur de lui refuser.
Il faut savoir que Patrice avait failli mal tourner dans sa jeunesse.
Heureusement un genou récalcitrant et l'atavisme familial (ses parents et son frère sont aussi vignerons) vinrent à bout de ses velléités de devenir footballeur professionnel, lui qui fut aspirant au centre de formation du FCG (Football Club de Gueugnon, eh oui, comme le monde est petit...). Bon ça lui aura au moins permis de savoir où se procurer de l'inox de qualité !
Bref, tout ça pour dire que, malgré notre affection pour Patrice nous nous sommes sentis obligés de nous livrer à une dégustation sans concession et approfondie. Sévères mais justes, en quelque sorte.
Eh bien avis aux amateurs, ils se reconnaîtront, le millésime 2009 s'annonce très très bien.
Vive 2009.
Vive 2009.
A bientôt.